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Réflexion sur mon avenir professionnel.

10 janvier 2013

Oser se donner des permissions.

Pour avancer dans la vie, il faut accepter de sortir de sa zone de confort. Je ne dois pas écouter ceux qui me disent que ça ne marchera pas ; je dois leur répondre que j’y crois et que ça va fonctionner.

Mon besoin de sécurité parasite mes choix. C’est très simple de rester dans ce que je connais, dans mes habitudes. Pourtant, certains changements dans ma vie se sont produits car j’ai remis certaines choses en cause.
Par exemple, pour me séparer de mon mari, j’ai d’abord longtemps douté, j’ai eu peur de l’avenir à cause de la baisse de revenus principalement… mais aujourd’hui, je ne regrette pas d’avoir pris la décision de quitter mon ex-mari car je me sens mieux.

Souvent on n’ose pas par crainte de l’échec mais je dois penser que je peux anticiper l’échec en ayant plusieurs solutions de rechanges.

Souvent on n’ose pas par crainte du regard de l’autre or je peux les associer à mon projet et gagner avec eux.

« Il faut beaucoup de courage ou oser être heureux pleinement. Il est plus facile, mais plus lâche, de se contenter d’un petit bonheur routinier que rien ne vient changer. » Marcelle Bourgault.

Je veux sortir de l’impasse. Je ne dois pas attendre d’avoir des regrets de ne pas avoir agi, je dois tenter et oser.

Attitude pour oser :

  • Ecouter mes intuitions.
  • Etre acteur de ma vie et non spectateur.
  • Accepter mes peurs, mes doutes. Etre courageuse et persévérante.
  • Planifiez mes objectifs accessibles.
  • Croire en moi.
  • Etre passionné par mon projet.

Entrainement : parler à des inconnus, changer de chemin, de coiffure, d’habitudes… Mesurer les effets. Augmenter les difficultés. Parler de nos ressentis à notre entourage.

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9 janvier 2013

Ecouter et développer ses intuitions.

L’intuition est un facteur clef de la réussite. Elle permet d’évaluer au plus juste l’essentiel des situations.

Notre cerveau fonctionne selon deux modes :
Un mode lent qui fait place à la logique, qui nous aide à réfléchir, analyser et comprendre. Ce mode ne donne qu’une solution, celle que l’on considère comme étant la meilleure. Or il existe de multiples solutions.

Un mode rapide et efficace mais plus inquiétant car nous faisons appel à notre sixième sens. Nous sommes attentifs à nos premières idées, à ce que l’on voit, à ce que l’on ressent. Notre cerveau comprend les messages sans savoir pourquoi.

L’intuition est un processus qui s’élabore dans notre inconscient. Rêves prémonitoires, personne à qui l’on pense et qui se manifeste, jugements rapides et justes sur des inconnus…

L’intuition est une compétence à développer. Je dois laisser faire mon inconscient, laisser incuber mes réflexions et la solution apparaitra.

Attitude :

  • Je pose ma question et je la range dans un coin de ma tête puis je laisse agir mon inconscient. La solution viendra (comme dr House) au détour d’un rêve, d’une discussion, à un moment non choisi.
  • Je fais des expériences dont la prise de risque est moindre : choisir une route plutôt qu’une autre, choisir un plat plutôt qu’un autre, un vêtement, un film…
  • Je dois me libérer des pensées parasites en faisant du sport, du yoga, de la relaxation, en me promenant. Je me détends.
  • Quand je ne trouve pas de solution à mon problème, je dois lâcher prise alors la solution m’apparaitra.
9 janvier 2013

Première proposition d’emploi !

Mon amie Corinne m’a parlé d’un poste de coordinatrice d’étage qui se libère dans le foyer pour handicapés dans lequel elle travaille. J’ai tout de suite pensé que j’avais peut-être une opportunité. J’ai amélioré mon CV et j’ai écrit une lettre de motivation. J’ai postulé bien que mon profil ne corresponde pas totalement à l’offre. C’est l’avantage de la recherche en réseau. Merci Coco !

Point +
Réfléchir sur ce poste me donne l’idée de postuler dans le secteur de l’enfance handicapée.

4 janvier 2013

Lâcher prise

« A force de vouloir contrôler tout ce qui nous entoure, nous gaspillons notre énergie et perdons notre sérénité. »

Je dois prendre conscience de ce à quoi je tiens afin de décider de ce que je dois lâcher et pourquoi.

Lâcher prise est une vision de la vie qui donne la force d’accepter le changement et de ne pouvoir tout contrôler. Cela nous aide à changer notre image du monde et à avoir le recul nécessaire.

Se libérer des croyances limitantes.

Je dois identifier les croyances issues de mon passé qui ont un impact négatif sur mon évolution ; je dois m’en affranchir afin d’entamer un processus de lâcher prise.

Laisse, c’est mal fait, tu n’y arriveras pas.
Tu es blessante quand tu parles.
Arrête de manger où tu vas grossir.
Tu as grossi ou bien tu as minci on dirait.
Tu es jalouse.
Tais-toi, de toute façon c’est de ta faute.
De toute façon, tu auras toujours tort.
De toute façon maman ne te croira jamais.
C’est comme ça, je ne veux plus t’entendre.
Tu n’as rien dans la tête, réfléchit un peu !
Arrête de faire la comédie, arrête de pleurnicher.
Quand elle a besoin de nous, ce n’est jamais la bonne période.
Je n’ai pas de temps à t’accorder.
Avec le caractère qu’elle a, on ne sait pas comment fait son mari pour la supporter.
Tu es infernale. (Même quand je ne dis rien)
Plus tard, le seul métier que tu sauras faire c’est éboueur ! dixit ma prof de maths.
Les autres réussissent alors pourquoi pas toi ? Fais des efforts.

Se libérer des messages contraignants.

Nos parents et proches nous ont transmis des messages inhibiteurs de façon inconsciente. Ces messages contraignants sont sources de stress.

Messages contraignants
(selon Taibi Kahler).

Je me donne des permissions

« Fais plaisir » : j’ai longtemps recherché l’approbation des autres en toutes circonstances afin de pouvoir les satisfaire.

J’apprends à dire non. Je dois vivre pour moi, penser à moi, prendre du temps pour moi.

« Sois fort » : je dois faire face à toute les situations, tout gérer sans montrer de signe de faiblesse. Se battre jusqu’au bout sans demander d’aide.

J’ai le droit de montrer mes émotions et mes sensations. Je dois être capable de demander de l’aide si cela est nécessaire (je suis en plein apprentissage !)

« Sois parfait » : je dois tout faire bien de façon irréprochable.

J’ai le droit de faire des erreurs.

« Fais des efforts » : je ne dois jamais arrêter et rien ne dois se faire facilement. Il faut se méfier de la réussite facile.

Je suis capable d’atteindre mes buts sans effort et de gagner facilement.

« Dépêche-toi » : je dois tout faire vite.

Je dois prendre mon temps et faire beaucoup moins de choses en même temps.

 

Accepter de ne pas pouvoir tout contrôler.

Je dois faire la différence entre les évènements que je peux contrôler, ceux pour lesquels je peux avoir de l’influence et ceux pour lesquels je ne peux rien.

Je dois réaliser et accepter que je ne peux changer ni les évènements ni les autres et que je peux seulement changer ma façon de les percevoir ; alors je suis dans le lâcher prise. Je n’abandonne pas mais j’accepte de voir la réalité en face. Je replace mon énergie là où elle sera vraiment efficace.

3 janvier 2013

Faire preuve d’optimisme, se faire confiance

Je sais que j’y arriverai même si ce sera difficile d’y arriver. Je suis optimiste. Je dois visualiser mon but pour favoriser ma motivation.
Avoir confiance en soi permet de s’affirmer et de réussir.

Attitude :

  • Développer et entretenir mes qualités et mes points forts au lieu d’essayer d’améliorer mes points faibles.

Quelles qualités ?

Qualités que je pense posséder.

Qualités que mes collègues aiment chez moi.

Qualités que mes amis aiment chez moi.

Qualités que ma famille aime chez moi.

Optimisme

Enthousiasme

Empathie

Esprit d’analyse

Persévérance

Compétence

Juste

Diplomate

A l’écoute

Sociable

Volontaire

Tenace : ne baisse pas les bras.

Gentille, sympa

Humaine

Calme

Esprit d’analyse

Esprit d’équipe.

Ingéniosité

Créative

Ténacité

Empathie

Courage

Ambition

Esprit d’équipe

Dynamique

A l’écoute

Forte

Battante

Enthousiaste

Attention

Esprit d’analyse

Sensibilité

Volonté

Partage, entraide.

Souriante

Intrépide

Courageuse

Heureuse

Serviable

Gentille

Belle

Intelligente

Disponible

Compréhensive

Déterminée

Persévérante

Battante

Débrouillarde.

 

Un grand merci à toutes celles et ceux qui ont participé à cette recherche de qualités. Mon égo est incroyablement satisfait et je suis émue de recevoir tant de gentillesses ! Je suis également surprise de constater que les qualités que vous m’attribuez sont celles que j’espère développer tout au long de ma vie. Cela me réconforte de savoir que vous avez ciblé ce que j’espère être au fond de moi. Attention ! Je suis à découvert ! Finalement, cet exercice m’aide à avoir confiance en moi. C’est très réconfortant de savoir que je projette une bonne image de mon moi profond. Je suis bluffée !

Bilan de ce que je fais bien et de ce que j’aime faire dans ma vie personnelle et professionnelle.

Mes qualités.
Dans quels domaines me sont-elles utiles ?

Ce que je fais bien.

Ce que j’aime faire.

Personnel et relationnel

Professionnel

Personnel et relationnel

Professionnel

Personnel et relationnel

Professionnel

Empathie

Sociable

Entraide

Optimisme

Disponible

Courage

Persévérance

Empathie

Esprit d’analyse

Entraide

Sociable

Esprit d’équipe.

 

Partager des moments de joie avec mes enfants autour d’un film, d’un jeu de société, d’un repas…

Aimer et partager.

Aider et trouver des solutions ensemble.

Recevoir de l’aide et des conseils.

Rendre service.

Apprécier.

Ecouter, comprendre.

Me donner des objectifs.

Me projeter dans l’avenir.

Profiter du moment présent.

Cuisiner.

Recevoir mes amis et ma famille.

 

Concevoir mes cours. Passer des programmes officiels aux compétences.

Enseigner, animer mes cours.

Différencier le travail de mes élèves pour faire face à leur hétérogénéité.

Utiliser différentes méthodes d’évaluation. Valoriser les progrès de chacun dans l’acquisition des compétences.

Coacher mes élèves, les encourager et les guider. Donner envie d’apprendre aux élèves.

Transmettre des valeurs qui aident l’enfant à grandir : entraide, acceptation des émotions et des sentiments, droit à l’erreur, humour.

Dynamique de groupe.

Travailler en équipe lors des conseils mais aussi lors de décloisonnement ou pour monter des projets.

Coopérer avec les parents et les partenaires de l’école.

Me former pour ouvrir mon enseignement aux réalités d’aujourd’hui.

Régler les conflits en utilisant la médiation.

Rencontrer du monde.

Etre avec mes les personnes que j’aime.

Aller au cinéma.

Surfer sur le net.

Lire.

Me balader à vélo ou à pied.

Respirer et absorber les énergies de la nature.

Regarder les paysages de la nature en fonction des saisons.

Protéger la faune et la flore.

Me reposer.

Me détendre dans un bain chaud.

Me lover dans mon lit douillet.

Me faire plaisir et faire plaisir aux autres.

Prendre le temps d’apprécier ce que j’ai acquis.

Ecouter de la musique.

L’informatique, la photo, la vidéo.

Découvrir et manger de bons plats.

Regarder des films fantastiques.

 

Etre en contact avec les gens.

Concevoir mes cours.

Evaluer.

Coacher.

Faire le suivi de mes élèves, faire le point avec eux sur leur parcours et mettre en place de nouveaux objectifs.

Me former pour mettre à jour mes compétences.

Evoluer dans mes fonctions.

Utiliser les nouvelles technologies.

La pause-café.

 

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3 janvier 2013

Cultiver ma chance.

Pour créer les opportunités et atteindre mon but je vais mettre en route la « mécanique de la chance ». Cette théorie m’est nouvelle, je pensais que je ne devais pas compter sur la chance pour réussir mais sur ma force, mon courage et ma ténacité.

Ainsi j’apprends au fil de ma lecture que la chance est une compétence qui peut se travailler. Je suis responsable de ma chance, elle dépend de moi, de mon aptitude à la développer. En la cultivant, je découvrirai de nouvelles opportunités et j’enrichirai mon champ des possibles.

Développer ma chance.

« Avoir de la chance c’est être acteur, moteur. C’est mettre en place une stratégie, utiliser des moyens qui nous donnent la possibilité de trouver ce qe nous cherchons. C’est prendre son destin en main au lieu d’attendre que les autres le fassent à notre place ou que les choses s’arrangent toutes seules. »
Cette définition correspond incroyablement à ma façon de faire. Finalement je sais déjà un peu développer ma chance.

Attitude pour créer un environnement favorable à mon projet :

  • Rencontrer les personnes qui me font avancer. Celles qui m’apportent des idées, de l’aide, des contacts, de l’énergie…
    Ces personnes ont déjà effectué une démarche similaire à la mienne, ont une activité professionnelle proche de la mienne ou de celle recherchée. Je dois trouver des supporters et des détraqueurs pour tester ma motivation. Je dois activer mon réseau, celui de mes amis, de mes relations.
  • Chercher les territoires qui m’intéressent, y trouver les personnes ou entreprises qui peuvent m’aider. Identifiez les pôles d’attraction (largeur dans recherche) qui correspondent avec mes idées.
  • Etre à l’écoute de mon environnement pour entendre parler de tout ce qui concerne mon sujet. Lire des articles, écouter des témoignages radio ou des reportages télévisés, trouver des liens sur Internet.

Créer des opportunités.

J’expérimenterai différentes solutions avec plus ou moins de bonheur pour arriver à mes finalités. Je ferai preuve de qualités que je vais acquérir, développer ou renforcer.

Etre en veille pour comprendre la mouvance de mon environnement.

  • Ecouter les opportunités de formation dans l’entreprise et ailleurs.
  • Vérifier les modes de financement existant.
  • Lire la presse spécialisée ou des livres concernant le secteur recherché.
  • Ecouter les émissions spécifiques.
  • Consacrer une heure par jour à faire des recherches personnelles.
  • Chercher des évènements sur ce sujet (salons, conférences…)
  • Newletters, alertes, chat…

Obtenir ces renseignements va m’aider à dédramatisez ma situation. Je prendrai conscience que mon projet est viable et que je peux le mener à bien.

Activer les réseaux.

  • Partager avec les autres ce que je vis, les difficultés rencontrées, mes doutes, mes peurs. D'autres s’en sont sortis.
  • Les amis de mes amis sont mes amis. Penser aux clients, fournisseurs, collègues et anciens collègues, concurrents…
  • Continuer à aider les gens autour de moi.
  • Ne pas perdre de temps avec l’ingratitude de certains.

Etre réaliste et patient.

Je suis prête à essuyer des revers. Ma force et ma persévérance seront récompensées. Ce sont les échecs qui forgent mon caractère et qui contribuent à faire de moi une personne d’expérience. « Ils servent de tremplin à la réussite ». Il faut tirer des leçons de ces échecs, les accepter comme épreuve et les transformer en opportunités tout en faisant preuve de patience.

Avoir toujours une longueur d’avance.

Tout peut arriver à tout moment. Il faut toujours avoir un plan B. Ma réactivité dépend de moi et de l’interaction avec les autres et mon environnement. Je dois faire preuve de curiosité, anticiper et créer du lien.

2 janvier 2013

Mon identité : « Suis-je ce que je fais ? Tout cela a-t-il du sens ? »

Il est bon de savoir se situer dans sa vie pour prendre les bonnes décisions. Je fais le point sur ma vie en évaluant les six dimensions de l’existence qui organise toute vie.

Moi et l’estime que j’ai de moi : Après quelques années d’altruisme, je commence à faire plus attention à moi, j’écoute plus souvent mes désirs, je suis en quête de compréhension de moi dans le but d’être authentique. J’apprends à me faire du bien. Je me fais de plus en plus confiance, je sais que mes choix me correspondent. Ma vie intérieure devient de plus en plus belle d’année en année ; je m’épanouie.

Je n’ai plus de vie amoureuse, affective. J’ai mis un terme à mon mariage il y a deux ans après 18 ans de vie commune parce que je ne partageais plus les mêmes valeurs du mariage que mon conjoint. Je n’ai pas consacré de temps à la construction de ma vie affective car j’avais besoin de me retrouver. Quelques rencontres sans aboutissements qui ont permis à mon psychisme de se préparer doucement au futur changement. Aujourd’hui, je suis prête à laisser mon cœur s’ouvrir pour une nouvelle histoire bien que cela me fasse encore un peu peur.

Ma vie de famille. Je suis l’heureuse maman solo de jumelles de 13 ans. L’organisation familiale est rigoureuse et fonctionne très bien. Nous formons un trio sympathique. C’est souvent la course à la maison mais nous arrivons à partager des moments conviviaux : soirée TV, cinéma, jeux de société, balades…
Mes parents vivent à une centaine de kilomètres de chez moi. Nous nous téléphonons régulièrement. Je les aime beaucoup et je suis très attachée à eux. Je pars chez eux quelques jours à chaque période de vacances scolaires. Quand j’y suis, j’apprécie revoir mes tantes, papoter, obtenir des nouvelles de mes cousines, respirer la nature.
J’ai un frère et une sœur avec qui je n’ai aucun lien. J’ai souvent eu l’impression d’être le vilain petit canard dans ma fratrie et j’en ai longtemps souffert. Nous n’évoluons pas du tout sur le même chemin. Heureusement, le vilain petit canard a réussi à s’éloigner du monde qui se moquait de lui, il a franchi des étapes périlleuses pour devenir autonome, il a rencontré des personnes aimantes qui l’ont aidé à devenir plus fort, à se développer avec bonheur. Puis, alors qu’il ne s’y attendait plus, il a vu son reflet dans la marre, il s’était transformé en magnifique cygne. Enfin, il trouva la famille à qui il ressemblait.

Ma vie sociale est très importante pour moi. J’ai des amis avec qui je me sens bien. Ensemble, nous nous amusons, nous refaisons le monde, nous nous encourageons… Je prends appui sur leur personnalité car ils me montrent inconsciemment le bon chemin. Grâce à eux j’ai confiance, je sais qu’après les épreuves, à force de courage et d’action, le soleil brille de nouveau. Ils m’acceptent telle que je suis et cela me procure un réel plaisir. J’aimerai leur consacré plus de temps.

Ma vie professionnelle me permet de m’épanouir. Je suis fière de l’évolution de mes compétences. J'aime beaucoup former mes élèves, les aider à progresser. Mon travail me plaît mais il ne me permet pas de gagner correctement ma vie. Afin de travailler toute l’année dans le même établissement, j’ai accepté de m’occuper d’une classe à double niveau. Aucune enseignante ne voulait de ce poste. Mon travail de préparation à mon domicile a doublé mais aucune prime, aucune évolution de mon contrat ne m’a été proposée. Mes compétences ne sont pas reconnues. Ma famille est tributaire du temps passé à travailler le week-end et pendant les vacances.

Mon environnement. Je vis en périphérie de Paris depuis cinq ans suite à la mutation de mon ex-mari. Mon logement est mal isolé du bruit et je n’aime pas entendre les bruits de vie de mes voisins. Je ne m’y sens pas bien et je rêve d’en partir. J’ai apprécié vivre à Aix en Provence et à Aubagne. J’aime bien la ville pour ses services de proximité et ses loisirs mais la nature me manque, les oiseaux, les arbres… Pour évoluer professionnellement, je suis prête à rester dans cet environnement. A moyen terme, j’aimerais vivre dans une maison ou un appartement avec terrasse, à proximité d’une ville moyenne pas trop loin de la mer ou d’une rivière.

Je semble en équilibre avec mon égo, ma vie sociale, ma vie de famille mais je dois améliorer mon environnement et ma vie affective.

Attitude pour améliorer mes écarts :

  • Pour améliorer mon environnement, je recherche l’endroit qui me convient et qui correspond à mes besoins. Je trouve un emploi ailleurs. Je vis avec quelqu’un qui vit dans un meilleur environnement (rires).
  • Pour améliorer ma vie affective, je me mets en quête du prince charmant : j’agis !
1 janvier 2013

Le mécanisme du changement ; typologie des comportements.

Autodiagnostique des positions de vie, en contexte professionnel.

Huit thèmes de vie professionnelle ont été analysés : style de management, approche des problèmes, attitude face aux règles, vision des conflits, réaction à la colère, attitude envers le supérieur, humour et attitude de base.

Ma position de vie dominante est OK/OK : « je suis OK – tu es OK ». « J’ai de la valeur aux yeux de l’autre / il a de la valeur à mes yeux. » Ce test montre que j’ai une bonne image de moi-même et des autres, que j’attends de la vie du positif et que je résous mes problèmes de façon constructive. C’est une position de santé mentale

Quatre types de comportements de passivité empêchent les individus de régler leurs problèmes.

L’inhibition ou l’abstention : la personne garde en elle ce qu’elle ressent
La suradaptation : la personne devine ce que l’autre veut et se plie à son désir. Elle est perçue comme serviable et adaptable.
L’agitation : la personne se disperse, elle agit ailleurs que sur le problème car elle ne se sent pas de taille à faire la tâche.
L’incapacitation ou violence : la personne décline toute responsabilité pour penser ou résoudre ses problèmes. Son énergie se retourne contre elle (maladie, folie…) ou les autres. La violence est une décharge brutale de l’énergie accumulée.

Attitude pour se sortir des comportements de passivité.

  • Je me mets en mouvement afin de régler mon problème… et je pense à me féliciter.
  • J’identifie dans mon entourage les personnes susceptibles de m’aider efficacement. Ensuite, je communique sur mes difficultés, ce sur quoi je bloque et j’exprime mon besoin d’échange, de stimulation, d’encouragement.
  • Je me fais aider et j’accepte d’être pris en charge par un professionnel de l’accompagnement.

Profil d’adaptation selon Spencer Johnson.

Les personnages de la fable « Qui a piqué mon fromage ? » symbolisent nos réactions et nos comportements face au changement.

En matière de changement, je serais plutôt comme Baluchon. J’aime la stabilité et le confort qu’elle procure. Je ne vois pas forcément le changement venir. J’en ressens un grand dépit et je commence par ne pas y croire. Je dispose d’une bonne capacité d’adaptation et une bonne réactivité. Cela me permet de me rendre à l’évidence et de prendre en compte la réalité du changement. Je suis lucide. Je suis capable de me remettre en question et de m’adapter à ma nouvelle situation. J’ai confiance en mes capacités pour rebondir et partir en quête de solutions. Je touche le fond mais je remonte à la surface.

L’expérience de la vie me permet de découvrir le comportement de Flair. Je fais de plus en plus confiance à mon intuition. Je n’aime pas le laisser-aller. Je suis capable de tirer les leçons de mes expériences et je me remets en question. Je dois développer les aptitudes des autres personnages pour avancer dans mon projet et réussir mon changement.

31 décembre 2012

Le mécanisme du changement ; accueillir ses émotions.

Les évènements prennent une tournure différente de celle que j’avais souhaitée.Je dois accueillir mes émotions. Face à cette épreuve, je prends la décision de me défendre, de me battre, de prendre mon destin en main.

La peur est une émotion qui peut me bloquer ou au contraire me pousser à l’action. Je ne dois pas laisser grossir la boule que j’ai dans le ventre. La peur vient du sentiment que j’ai de ne pas pouvoir dominer une situation inconnue. J’ai déjà rencontré une situation quasi similaire mais je suis confrontée pour la première fois à devoir quitter un emploi où je m’épanouie.
Je ne sais pas comment m’y prendre, cela m’agite. J’ai peur de ne pas trouver un emploi aussi plaisant. J’ai peur que mes 38 ans soient un frein à mon essor. Je culpabilise à l’idée de partir en cours d’année scolaire car j’ai peur de déstabiliser l’organisation de mes élèves. J’ai peur de quitter mon travail et de le regretter plus tard.

Face à l’épreuve je me suis déjà découvert des ressources que je ne connaissais pas. Je ne sais pas ce qui m’attend mais je dois semer des graines d’avenir.

Pour accéder au renouveau, je dois passer par un processus de deuil dont les étapes sont le déni, la colère, la peur, le marchandage, la tristesse et l’acceptation. En lisant cette information j’ai l’impression d’avoir déjà franchi quelques étapes.
Ces étapes seront facilités si  :

  • Je fais preuve d’hétéro-érotisme, je continue à ne pas me victimiser. Je ne me complais pas dans la situation de deuil.
  • Je me connecte à d’autres émotions fortes que celles liées à mon emploi actuel.
  • Je démine, je balaye les rumeurs et je fais place nette pour pouvoir me reconstruire.
  • Je prends du recul, refuse de culpabiliser et monte différents projets pour faciliter mon cheminement.
30 décembre 2012

Détecter les signaux d’alerte annonciateurs de changement.

Je suis suppléante d’enseignement dans l’enseignement du 1er degré (institutrice, c’est plus simple !), depuis presque cinq ans. J’ai mis toute mon énergie pour changer de voie professionnelle, enseigner et préparer en parallèle le concours qui me permettrait d’obtenir un poste fixe et à durée indéterminée.

Je m’étais donné 5 ans pour réussir le concours et la période se termine. Mes compétences ont progressées mais pas mon statut. Les conditions d’accès au concours ont changé en ma défaveur. Si je réussis le concours je serai rémunérée 250€ de moins qu’aujourd’hui pendant le temps de formation or je ne peux pas gagner moins.
Je serai cédéisable dans un an et demi mais j’ai appris que ma situation « sans concours » m’obligeait à faire partie du mouvement (mutation) chaque année.

J’aime mon travail à tout point de tâches : ingénierie pédagogique, enseignement, évaluation, projets, éducation… Cependant, je me remets en question : suis-je capable de continuer à travailler dans la crainte de changer de poste chaque année pendant 25 ans ? Vers quel emploi me tourner ?

L’organisation du nouveau concours, l’instabilité annuelle de mon poste et le manque de reconnaissance salariale de mes compétences sont mes signaux d’alerte du changement.

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Réflexion sur mon avenir professionnel.
  • Autoanalyse à partir du livre : "Garder son job ou changer d'air ? Faites le bon choix !" Objectifs : repérer les signaux d'alerte et le mécanisme du changement... Comprendre qui je suis et comment avancer. Agir : décider de partir ou de rester.
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